Graines de Bitume

Les espaces verts urbains ou péri-urbains ont souvent été conçus pour définir les limites de ce qu’est la ville, ou plus exactement, de ce qu’elle n’est pas. En parallèle de notre observation de l’espace public urbain, nous avons donc choisi d’investir les espaces verts, en particulier le Bois de Vincennes, et d’étudier ces lieux sous le prisme du genre.
Lorsque l’on applique un filtre de lecture genré à ces lieux – parcs urbains, espaces verts – il semblerait qu’en termes d’occupation de l’espace, on y retrouve les mêmes codes et stéréotypes que l’on observe dans la rue. Qu’en est-il vraiment? Et dans une logique globale de redéfinition des territoires urbains, peut-on repenser la création, la géographie et l’utilisation de ces espaces? Pour quels bénéfices? Et à destination de qui?

Vous trouverez ci-dessous les avancées de nos travaux sur ce thème.